Le Corps en Conscience
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La mémoire procédurale

30/10/2021

La mémoire procédurale

Qui est mon corps ?

11/10/2021

Qui est mon corps ?

La pyramide de Williams et Shellenberger 

02/10/2021

La pyramide de Williams et Shellenberger 

Où passe notre énergie ?

02/10/2021

Où passe notre énergie ?

L'observation en préalable

02/10/2021

L'observation en préalable

Le dernier soupir

28/09/2021

Le dernier soupir

Que faire avec le mal de dos ?

28/09/2021

Que faire avec le mal de dos ?

La connexion respiratoire

16/09/2021

La connexion respiratoire

De nombreuses douleurs courantes, en particulier autour de la tête, du cou et des épaules, peuvent être causés en partie par une respiration inefficace. Des problèmes tels que des maux de tête chroniques, des mains engourdies et fourmillantes, des douleurs au cou ou dans le haut du dos peuvent en fait être causés par un problème respiratoire. Les exercices de respiration qui peuvent aider sont fastidieux et peu attrayants, mais ils sont utiles.
S'il existe, le lien entre un dysfonctionnement de la respiration et la douleur est en principe simple : si le diaphragme ne fait pas bien son travail, les muscles de la partie supérieure de la poitrine (pectoral mineur) et de la gorge (sternocléidomastoïdien et scalène) tentent de l'aider. Malheureusement, ces muscles ne sont pas conçus pour la respiration de routine, ils s'épuisent et deviennent sensibles. Si cela se produit, cela peut déclencher une cascade de conséquences inconfortables au fil du temps.
L'hydraulique de la respiration
Si vous comprenez le principe de l'hydraulique, vous pouvez rapidement saisir le fonctionnement de la respiration. Le diaphragme est votre principal muscle respiratoire. Il s'agit d'un muscle fin et large qui sépare la cage thoracique de l'abdomen. Il a une forme de dôme élevé qui s'aplatit considérablement lorsqu'il se contracte. 
Lorsque le diaphragme se contracte, ce dôme s'aplatit et, en s'aplatissant, il pousse les viscères vers le bas comme un piston hydraulique. Comme les viscères aqueux ne peuvent pas être comprimées, elles sont poussées vers le bas et vers l'extérieur. Lorsque vous inspirez avec votre diaphragme, votre ventre se dilate. Lorsque votre diaphragme bouge, votre ventre doit bouger - s'il ne bouge pas, c'est que vous n'utilisez tout simplement pas votre diaphragme. Une bonne respiration est donc décrite comme une "respiration du ventre", une "respiration abdominale" ou une "respiration diaphragmatique".
Et pourquoi demanderions-nous à des muscles inadaptés de travailler trop dur ? Pourquoi respirerions-nous de manière dysfonctionnelle ?
•    Le tabagisme ainsi que tout problème de santé qui rend la respiration difficile. Il y en a pas mal.
•    Le mimétisme - personne ne respire bien, donc nous faisons pareil que tout le monde. La respiration superficielle fait partie d'un ensemble d'habitudes posturales et de mouvements que nous commençons à imiter dès l'enfance.
•    La plupart d'entre nous sont trop vaniteux pour être à l'aise avec le fait de sortir le ventre. Rentrer son ventre est probablement l'habitude posturale la plus populaire au monde, et bien sûr, cette habitude se renforce avec l'âge.
•    La respiration est en étroite connexion avec nos émotions, et de nombreuses personnes la retiennent pour éviter de faire sortir des émotions perturbantes.
•    Notre mode de vie en position assise, avec les hanches fléchies à 90˚ et le ventre comprimé par le bas, rend la respiration diaphragmatique mécaniquement difficile.
•    Le stress a tendance à se manifester par des tensions musculaires dans les parties hautes du corps : visage, mâchoire, cou et épaules.
La respiration chronique avec les muscles de la poitrine et du cou fatigue considérablement et finit par endommager la musculature respiratoire d'urgence, ce qui entraîne une foule de problèmes : les exercices physiques deviennent plus pénibles et le risque de traumatismes aigus et chroniques et d'affections douloureuses au niveau du cou et des épaules augmente considérablement

Les présupposés de la PNL adaptés à la conscience corporelle

16/09/2021

Les présupposés de la PNL adaptés à la conscience corporelle

1. La carte n’est pas le territoire
Cette notion correspond au fait que nous percevons le monde (le territoire) à travers nos 5 sens. Nous nous faisons une représentation interne de notre schéma corporel qui n’est pas exactement la réalité. Chacun d’entre nous possède donc sa propre carte du monde et il n’y a pas une carte meilleure qu’une autre.


2. Tout comportement est sous-tendu par une intention positive
Si nous nous montrons trop exigeant vis-à-vis de nous-même, notre corps réagit instinctivement pour nous préparer à l’action ou nous protéger. La carapace musculaire se contracte. La question qu’il faut se poser est : quelle est l’intention positive qui a provoqué notre réaction corporelle ?


3. Corps et esprit agissent l’un sur l’autre
Ce qui se passe dans l’esprit a des répercussions dans le corps, et inversement. Si l’on observe les modifications du non verbal, on peut en déduire des modifications concomitantes au niveau de la pensée.


4. On ne peut pas ne pas communiquer
Les mots (le verbal) ne représentent que 7% du message, la manière de dire (le para verbal) et le non verbal représentent les 92% restants ! En présence de l’autre même si nous n’avons pas une intention de communiquer, nous communiquons quand même à travers notre comportement. Le corps communique constamment avec son environnement extérieur.


5. Nous ne sommes pas nos comportements
Il est utile de distinguer l’identité d’une personne de ses comportements. Les comportements s’inscrivent dans un schéma corporel. Il est possible d’aider une personne à changer son comportement et à modifier son schéma corporel, mais il impossible de changer sa nature. Il s’agit de changer un comportement problématique tout en respectant la personne.
Quand un comportement pose problème, c’est que nous n’avons pas su faire autrement. Autrement dit, le schéma corporel que nous avons en place est le meilleur choix que nous avons pu mettre en œuvre sur le moment, en fonction du contexte et de nos capacités. 


6. Plus on a de choix, mieux c’est
L’éducation somatique propose non pas de supprimer un comportement qui pose problème, mais de rajouter d’autres choix de comportements. C’est la variété des choix qui permet d’affronter la complexité d’une situation, et qui permet que, lorsque cela ne marche pas, de changer sa façon de le faire et d’essayer autre chose. "Plus on a de choix, mieux c’est".


7. Chaque personne a en elle toute les ressources nécessaires au changement
Il faut simplement apprendre à les utiliser ou à les découvrir. Ce présupposé invite chacun à reprendre du pouvoir sur sa vie. Il considère que les limites d’une personne ne sont que la représentation qu’elle s’en fait.


8. Ce que sait faire une personne, une autre personne peut apprendre à le faire
Les limites n’existent pas dans le monde "réel", mais dans le modèle du monde de la personne. L’éducation somatique ne change pas le monde mais l’idée que la personne se fait du monde. 


9. L’échec n’existe pas, il n’y a que du feedback
Il n’y a pas d’échec en éducation somatique, mais du feed-back, de l’information que l’on reçoit en retour lorsque l’on fait quelque chose. Alors que l’échec et l’erreur peuvent culpabiliser et démotiver, considérer une réponse inattendue en tant que feedback d’un contexte responsabilise et invite à agir.

Apprendre le corps

15/09/2021

Apprendre le corps