18/05/2020
Notre moteur le plus puissant est en nous. Ce moteur, c'est le symptôme, et ainsi s'éclaire la phrase d'Aristote: "sauver le symptôme" et non le fuir. Beaucoup de thérapeutes atteints du syndrome de la fureur de guérir, voudraient le faire disparaître, et l'attaquent à coup de psychotropes et de neuroleptiques, ne laissant pas leur chance au patient. Il ne faut pas oublier que le symptôme s'adresse à l'homme comme parole divine. L'homme doit harmoniser l'esprit et le corps et c'est en l'écoutant que nous pourront progresser.